









A cette question, ajoutons en vite, une seconde : a-t-il par le passé réellement défendu l’intérêt des Cavalairois ? Quand, où, comment, on attend ses réponses !
Pour l’heure, rappelons nous.
Début 2011, l’opposition, en la personne de son association, forme un recours devant le TA contre le permis de l’Hôtel de Ville… déposé par la Ville.
Un recours contre la Ville qui visait à l’annulation du permis et surtout à la suspension des travaux. Imaginons un seul instant que leur conseil ait été performant.
Croyez-vous que les entreprises signataires des contrats auraient fait demi-tour sans demander leurs restes ?
Qui aurait été alors responsable de ce gaspillage, sinon l’opposition et son chef de file ? Et dans quel autre intérêt que celui d’attaquer coûte que coûte notre Maire, plutôt que de se comporter en élus dignes et responsables ?
N’ayant pu empêcher les travaux de commencer par cette manœuvre déloyale, c’est alors la désinformation qui a pris le pas. Les fondations de l’Hôtel de Ville seraient trop fragiles pour supporter une élévation. Et la rumeur : qui n’a pas entendu celle-ci envahir les rues : l’Hôtel de Ville s’est enfoncé de 40 centimètres !!!
Poursuivant dans la même veine, toujours aussi bénéfique pour la démocratie locale qu’un renard dans un poulailler, et toujours aussi bien conseillé, notre chef de file de l’opposition s’est acoquiné avant de faire marche arrière (ce dont on ne peut que le féliciter) avec quelques aventuriers qui se sont mis dans la tête de « faire tomber le Conseil Municipal ». On voit là encore l’intérêt des Cavalairoises et Cavalairois défendu au plus haut point…
Une Conseillère Municipale ayant envisagé de démissionner pour des raisons personnelles, mais s’étant rétractée avant même que sa démission parvienne au Maire, voici notre opposant en chef qui s’empare du fait et veut nous convaincre encore une fois, en grand juriste qu’il est, que la démission est illégale. Ou doit-on voir là encore la patte d’un conseiller mystérieux ? Je me suis en tout cas laissé dire que le Préfet ne l’entendait pas de la sorte et avait confirmé la position du Maire actuel.
Et donc, maintenant, l’affaire SOCOGIM.
L’intérêt des Cavalairoises, Cavalairois encore porté au plus haut point…
René Brun