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Lundi 01 Décembre 2025
Article publié le 01/08/2013
Propos calomnieux du leader de l’opposition
Un ami du Maire réagit aux propos injurieux de la tête de liste de l’opposition sur Madame le Maire et sur le FESTIVAL DES TRAGOS
 
Oui, je suis un ami du maire, un ami loyal des « Amis du Maire ».
 
Oui, j’aime aussi le festival des Tragos.
 
Je voulais, à tous nos amis, en dire un mot. Dire ce que je pense du festival, dire aussi ce que je pense des propos injurieux du leader de l’opposition municipale sur le maire au sujet justement du festival.
 
Qu’est-ce que ce festival ?
Quel est-il ?
Que représente t-il ?
 
Je parlerai avec mon cœur. Je parlerai aussi de « politique culturelle ».
Je parlerai enfin de choses indignes et inacceptables que tout Cavalairois devrait savoir.

 
Les TRAGOS d’abord
Comme tout festival de théâtre, les Tragos, c’est d’abord une « aventure ».
 
Une aventure humaine, littéraire, culturelle. Une aventure longue de 36 années. Il y a les « grands capitaines » de cette aventure au long cours. Ils se reconnaîtront. Ce sont ceux qui l’ont « portée sur les fonts baptismaux » et qui « l’ont fait vivre» pendant presque deux générations. Et puis il y a les « matelots » de l’opération, fidèles, dévoués, présents, généreux, cultivés, avides de cultures. Ce sont les techniciens, les écrivains, les acteurs, les metteurs en scènes, les accessoiristes, les décorateurs et les costumiers.
 
Et puis comme pour toute aventure, il y a le « public » : les centaines, les milliers, les dizaines de milliers de « spectateurs » qui depuis près de 40 ans ont usé, par amour des planches, leur fond de culotte sur les chaises-coques et autres modèles plus anciens, du festival, sous l’Eucalyptus, à la fraîche, 36 étés durant.
 
Une aventure culturelle qui part telle une expédition lointaine, ne peut se faire sans de belles, inédites et surprenantes péripéties. Là, on en arrive à « l’histoire dans l’Histoire du Festival », son autre et 2ème vie. Infiniment plus dangereuse pour lui. La dernière est celle qui mettait en jeu l’existence même du festival pour cet été.
 
Cet épisode de « l’histoire dans l’Histoire » dure depuis quelques années, depuis que le Conservatoire du Littoral est le propriétaire de Pardigon par l’intermédiaire de l’Etablissement Public Foncier Régional.
 
Oui, cet été le festival ne devait pas avoir lieu. Fin de l’aventure. Fin du film et des pièces de théâtre. Le rideau tombe. Circulez, y a rien à voir. Définitivement.
 
La direction du festival, tous les amoureux se sont battus contre ce scénario catastrophe.
 
Mais en France, les pouvoirs publics sont toujours de la partie. En bien comme en mal. Cette fois là, grâce au maire, à Annick Napoléon, je dois le dire, et tout le monde en convient, le festival saison 2013 a pu être sauvé. Elle a fait l’intermédiaire entre la compagnie et le festival, d’un côté, et avec le Conservatoire du Littoral de l’autre, et tous, avec de la bonne volonté ont pu trouver LA SOLUTION : sauver le festival pour cette saison et avoir quelques garanties pour l’avenir.
 
Qui pourrait s’en plaindre ? Personne.
Qui s’en félicite et en félicite Mme le Maire ? Quasiment tout le monde. En tout cas la direction comme les spectateurs au regard des témoignages de satisfaction reçus.
 
Je dis « quasiment » tout le monde parce qu’existe un esprit chagrin qui entend bien « saloper » ce qu’il considère être comme un « gain politique » pour le maire et qui n’est rien d’autre que le résultat de son travail et de son envie d’œuvrer efficacement pour le bien de Cavalaire.
 
Alors après les « grands capitaines » du festival, après les « matelots » et le public, voilà qu’entrent en scène les « faux sauveurs », les « vrais vautours » et les « opportunistes calomnieux et injurieux ».
 
Explication de texte : le 1er juillet Philippe LEONELLI fait publier sur le site internet de la Lettre économique et Politique PACA un texte (celui-ci est à disposition de tous les amis du maire au siège de l’association) sur le festival des Tragos. Après sa tribune dans le magazine municipal qui flirtait déjà avec la ligne rouge de la diffamation, là il franchit le pas. Rien ne l’arrête… et surtout pas sa clairvoyance.
 
Extraits choisis du texte de Monsieur Léonelli :
 
  • Le titre : « DEVENIR DU FESTIVAL DES TRAGOS ! L’IMPLICATION DU MAIRE EST DE LA POUDRE AUX YEUX ! » Deux points d’exclamation dans la même phrase, on ne peut pas se tromper, c’est du Léonelli.
  • « Chers amis, soutenons le festival ! » (Pour lui, au mois de juillet, il était temps de s’en occuper).
  • « En vérité, ce festival ne l’intéresse pas, pas plus que la culture et cette vieille bâtisse n’a aucun intérêt à ses yeux ».
  • « Voila la dernière chance que Mme Napoléon a manquée. Mais cela n’a rien d’étonnant de sa part. Car la culture c’est aussi et avant tout une ouverture sur les autres, un état d’esprit, une sensibilité particulière. Si l’on est ému par une œuvre d’art, c’est parce que l’on a avant tout de l’humanité et le goût de son prochain et pour un maire, l’amour de ses concitoyens. En réalité, c’est pour cela que Mme Napoléon n’a pas acquis la ferme de Pardigon, la ferme des Tragos. C’est qu’elle manque réellement de culture ! En effet, la culture ne se limite pas à certaines connaissances savoirs et compétences, ce dont elle est également dépourvue. C’est la capacité de s’émouvoir de ressentir.
  • « Mme Napoléon n’a jamais ressenti la magie indéfinissable de ce lieu ».
  • « Car la culture, ce n’est pas de l’épicerie (admirez le style…) ou de la stratégie politicienne (…la richesse et la précision du vocabulaire). C’est la POLITIQUE elle-même. (le fait de mettre ce mot en lettres capitales rend sa portée incommensurablement plus forte, c’est évident).
  • Car la politique « c’est le cœur de la cité. (Ca c’est une information : Philippe Léonelli a lu Aristote). Mais pour cela, il faut « être cultivée » et cela Mme Napoléon, ce n’est pas simplement et seulement de la communication. Il faut être un être de chair et de sang. (Le texte prend ici une dimension philosophico-psychologique de haute tenue). Capable d’émotions et de sentiments. Un être qui a le goût des autres (C’est l’exacte définition de monsieur Léonelli). Et quand on a la prétention de gérer une ville (Non, non, elle n’a pas la « prétention ». Elle en a le « devoir » puisque une large majorité de Cavalairois l’ont élue maire), il faut être très cultivé (c’est bon là on le sait : M. Léonelli ne sera jamais maire), pour avoir le « goût de ses administrés » (Est-ce un reste, une sorte de réminiscence de sa jeunesse et ne confond-t-il pas ici « le goût de ses administrés » avec le « goût de ses clientes » alors qu’il était patron de boîte de nuit ?), car en définitive Mme le maire, la culture (car lui, il sait ce qu’est la culture) c’est cette propension naturelle (Que c’est beau) à aller vers les autres, à les prendre en considération, à les respecter, à les écouter et avoir de l’empathie (Oui, la culture, c’est cela, juste cela) ». Et il ajoute.
  • « Mme Napoléon n’est pas cultivée ».
  • « Pour Mme Napoléon, il faut se débarrasser des artistes, esprits libres et indépendants et donc lucides et par trop critique. Espérons que demain elle ne se mette pas à brûler des livres en place publique. »*
*Le directeur de cette publication a été immédiatement contacté et quand il lui a été indiqué qu’il risquait des poursuites pénales au titre de la diffamation, de l’injure publique à caractère fasciste, le texte a été évidemment aussitôt retiré.

Je voulais dire tout cela à mes amis des Amis du Maire, parce que ce texte et l’attitude intellectuelle qu’il révèle, donne toute la mesure du personnage, désormais connue de tous.
 
  1. Il joue toujours son rôle de personne affable quand il vous tient en tête à tête, n’abordant jamais le fond des problèmes, souriant et superficiel, fuyant si on le presse de questions trop précises. 
  2. A la moindre occasion et de manière toujours détournée (la Lettre Economique et Politique PACA et ce site internet ne sont quand même pas le « Var Matin »), il attaque sous la ceinture, en usant de l’injure, en méprisant et en rabaissant les gens.
  3. Il fait semblant de s’intéresser au dossier, mais il n’a jamais rien dit, ni rien fait de concret depuis 3 ans pour les Tragos. Il fait comme à son habitude le « saint sauveur » des causes déjà gagnées (par d’autres).
  4. Il donne des leçons alors qu’il n’est pas au fait des dossiers, qu’il ne connaît pas personnellement les parties prenantes et n’a assisté à aucune réunion de fond.
  5. Monsieur Léonelli, à court d’idées, en mal de compétences, est aujourd’hui à bout de souffle pour attaquer sa campagne qui ne décolle pas. Gros zéro pointé à 6 mois des échéances. Il le sait. Il est acculé et obligé mois après mois de descendre le niveau de ses propos et d’augmenter la violence de ses attaques, qui se noient maintenant dans l’injure et la médisance.
Tout cela sont des vérités que tous les Cavalairois doivent connaître.

L’homme injure et qualifie d’ « inculte » son adversaire. L’homme n’a jamais fait pourtant la preuve unanime de sa « grande culture ». Le contraire se saurait à Cavalaire.

Je veux aussi dire que Madame le Maire a toujours voulu élever le débat et éviter ce triste marigot où nous plonge le leader de l’opposition municipale.

S’il veut grandir politiquement, s’il veut tourner la page de ce type de manœuvres honteuses, s’il veut élever le débat ce qui est le propre des élus qui se font une « autre idée de la politique », alors il devrait répondre positivement à la proposition que Madame le Maire lui a faite lors du conseil municipal du 10 juillet dernier : accepter le face-à-face et répondre « oui » pour un vrai débat. Un débat qui porterait sur le fond des choses, sur Cavalaire, son avenir, celui de nos enfants, sur notre économie et notre environnement.

Mais Monsieur Léonelli peut-il « grandir politiquement » ou doit-il rester cantonné à user de l’injure et de la calomnie pour masquer l’incompétence ?

Vous connaissez ma réponse.

J’attends impatiemment d’entendre la sienne à propos du débat que Mme le Maire lui a proposé.

A tous très cordialement.

 
René BRUN, un Ami du Maire

« Chez certains hommes, la bêtise est souvent l’alliée naturelle de la haine ».
Un célèbre premier ministre de l’ancien régime.

« Ce que j’aimerai faire comprendre à mes adversaires,
c’est qu’il ne devrait pas y avoir d’adversité »
Philippe Léonelli, tract de lancement de campagne, février 2013