Chers amies et amis,

Nous vous communiquons notre texte que vous retrouverez dans le prochain numéro du magazine municipal dont la distribution est prévue courant octobre 2016.

Nous y évoquons, le projet du nouveau port et les projets d’urbanisation de Cavalaire, sujets que nous développerons lors de notre prochaine réunion des « Amis d’Annick NAPOLEON ».

Nous rappelons que nous sommes obligés de remettre notre texte, au cabinet du maire, plus d’un mois avant la diffusion du magazine municipal et celui-ci est limité à 1800 caractères au maximum.

Nos sincères amitiés.

CAVALAIRE DEMAIN

C’est CAVAL’ DUBAI

Ce projet de nouveau port est déraisonnable et disproportionné : refonte complète du port et création de nouveaux bâtiments dont certains sont superflus comme, par exemple, sur le quai Patrice Martin le local de 120m² pour l’Académie de Flyboard de Vincent LAGAF !

Ce projet a été choisi par trois élus : le maire, le premier et le cinquième adjoint. Les autres élus de la majorité l’ont découvert en même temps que l’opposition, mais cela ne les a pas empêchés de l’approuver.

Pourquoi autant de précipitation pour vouloir le réaliser ? Alors que, lors du dernier conseil, le maire n’a pas su répondre, ni à nos questions, ni à nos inquiétudes passant sans cesse la parole, soit aux responsables de service, soit au cabinet d’étude.

Manifestement, le maire maitrise mal ce projet dont il n’a pu, lui-même, nous fournir la moindre explication quant à son financement.

Mais aussi CAVAL’ BETON

La promesse de campagne de procéder immédiatement à la modification du PLU afin de le doter des moyens nécessaires pour contrebattre les dispositions de la loi ALUR n’est toujours pas mise en œuvre !

Ce qui fait le bonheur des promoteurs !

En effet, à ce jour depuis le début de son mandat, le maire a signé les permis de construire de 578 nouveaux logements répartis entre 6 nouveaux programmes immobiliers et ceux des Canissons et du Jas destinés, en partie, aux actifs cavalairois. Et, ce n’est pas terminé !

Texte remis le 29 août 2016.

Pour visualiser notre texte, cliquez ici