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Lundi 01 Décembre 2025
Article publié le 21/10/2011
A propos du « Bilan de l'Opposition »

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A propos du « Bilan de l’Opposition » 

 

Dans le document spécial bilan de mi-mandat, édité par la municipalité et distribué à la population, l’opposition exprime ses positions sur ce qu’elle appelle « bilan de l’opposition pour ces trois années passées ».

 

Encore une fois, un tel texte ne pouvait se passer de commentaires et de précisions utiles à tout Cavalairois qui s’intéresse aux affaires de notre commune.

 

Sur le titre de l’article et son appréciation quant à son contenu

En lisant le titre de « bilan de l’opposition », le lecteur normalement constitué s’attend à lire le compte-rendu de ce que l’opposition a fait par elle-même ou proposé depuis 3 ans, en tant que contre-projet pour Cavalaire sur Mer.

 

De ce point de vue, il n’y a rien que le chef de file de l’opposition rappelle à notre mémoire en tant qu’action ou proposition concrètement réalisée. Le bilan de l’opposition est donc littéralement, vide.

 

En fait, le texte de l’opposition n’est pas « son propre bilan », mais un « contre-bilan » qu’elle fait de l’action menée par la municipalité depuis 2008.

 

On l’a parfaitement compris : l’opposition n’a rien à proposer, n’a rien à dire non plus sur ce qu’elle a fait depuis 2008. Par contre, elle attaque l’action de la majorité en choisissant précisément 7 sujets : la gendarmerie, le parking du stade, la salle des fêtes, le projet Canissons, le logement, la Poste.   

Sur la gendarmerie

La position de la majorité est claire. Avant 2008, le dossier de délocalisation de la Gendarmerie se trouvait entre les mains du ministère de tutelle et pour partie dans celles de la ville. Entre la volonté forte des services de la gendarmerie et une municipalité qui ne s’opposait pas, selon nous, assez fortement au projet de délocalisation, la décision de la direction nationale de la gendarmerie était devenue définitive avant mars 2008.

 

Nous pensions à l’époque qu’elle ne l’était pas encore. Nous pensions, puisque nous n’avions pas les tenants et les aboutissants du dossier, qu’il y avait encore une possibilité de modifier ce choix et qu’il fallait se battre. Nous avions d’ailleurs dans nos mains une lettre, rendue publique par nos soins, signée de la propriétaire du terrain de la Croix-Valmer, sur lequel devait se construire la Gendarmerie, qui nous certifiait à l’époque que ce terrain n’avait pas encore été vendu.

 

Il n’a donc pas été possible d’inverser le cours des choses. La décision au 22 mars 2008 était irrévocable et l’équipe d’Annick Napoléon, l’ignorait donc. 

 

Nous le regrettons, comme nous regrettons la délocalisation. Comme nous regrettons aussi que les élus de la majorité d’alors (et qui d’ailleurs sont encore élus au sein de la minorité municipale) n’aient pas plus « mouillé la chemise » pour refuser et combattre dès l’origine du dossier, le principe même du déplacement de la gendarmerie.

 

Sur le parking du stade et l’abandon du projet des 212 logements qui devaient y être construits.

Là, tout a été dit. Remplir le dernier espace symbolique en centre-ville, par un programme immobilier - qui n’était que très accessoirement à caractère social – était une erreur. Là, la municipalité a tenu son engagement. Il n’y aura pas 212 logements dans des immeubles de 5 étages sur le parking du stade.

 

Ici quelques questions :

 

Monsieur le chef de file de la minorité municipale regrette l’abandon de ce projet. Faut-il comprendre qu’il proposera un projet similaire en cœur de ville pour 2014 ? Là, le chef de file de la minorité municipale entretient un bien mystérieux silence.

 

Pourquoi le chef de file de la minorité municipale écrit dans son texte : « Madame le Maire a eu tort de bafouer » « les contrats » passés avec « Vinci, Socogim, Campenon Bernard » ? Pourquoi utiliser le mot « bafouer ». Ce terme signifie « traiter avec mépris ». Jamais ces sociétés n’ont été traitées avec mépris. Tel semble être donc le cas aux yeux du chef de file de la minorité municipale. Le choix de ce terme n’appartient qu’à lui et il est significatif du prétendu « grief et mépris » fait selon lui, à ces entreprises. 

 

Dès lors, pourquoi le chef de file de la minorité municipale décide de se poser en avocat et défenseur de l’intérêt financier de ces groupes ? Est-ce son rôle ? Où se situe chez lui et pour ce dossier, l’intérêt des Cavalairois ? 

 

Autre question : son mandat d’élu local est-il d’abord destiné à garantir ou à protéger les prétendus contrats conclus par des leaders du marché de la promotion immobilière ?

 

Autre précision sur le risque financier couru, selon le leader de la minorité municipale, par la commune. Dans les litiges en cours, la commune a obtenu, à ce jour, le rejet de toutes les prétentions financières demandées par lesdites sociétés.

 

Sur la salle des fêtes

Là, nous ne nous attendions pas à ce que ce dossier soit évoqué.

 

Alors que dans le groupe d’opposition siège un des leaders « historiques » de la majorité d’avant 2008 - d’une majorité qui alors avait tout loisir depuis des années, de faire un projet nouveau !, ambitieux !, nécessaire !, adapté !, etc, etc - le leader de la minorité municipale regrette la modestie de la rénovation de la salle des fêtes.

 

Modeste, peut-être l’est elle, mais cette rénovation était surtout plus qu’urgente. Car depuis des années, rien de rien n’y avait été réalisé : pas de toilettes pour les personnes à mobilité réduite, pas de vestiaire, pas de rénovation des lumières, de la vidéo, du son, aucun changement des rideaux de scène, etc, etc.

 

La municipalité a répondu par ces travaux à l’urgence d’une situation née de « l’héritage ».

 

On regrette tout comme lui qu’une salle moderne n’ait pas été construite à cette époque. Mais peut-être aurait-il dû ajouter que cela aurait dû être fait depuis fort longtemps (car, nous le savons aujourd’hui, un projet complet avait été, à l’époque, monté et sommeillait dans un tiroir, bien à l’abri de la lumière). Nous invitons donc le chef de file de la minorité municipale à faire cette remarque à son troisième de liste qui doit avoir des réflexions et des réponses très pertinentes sur ce sujet.

 

 

Sur le projet des Canissons

Tout semblait avoir été dit sur ce point. L’annulation du PLU adopté en 2005, l’année dernière, impacte de manière importante le dossier des Canissons et rend plus difficile la négociation entamée, il y a maintenant deux ans.

 

L’Etablissement Public Foncier Régional chargé de l’achat pour le compte de la ville, du terrain des Canissons est en contact permanent avec le comité d’entreprise EDF à qui appartient ce terrain.

 

Sur le logement des Actifs

Le chef de file de l’opposition municipale se plaint du manque de réalisations en matière de logements. Il oublie le lotissement des Collières. Ce n’est certes jamais suffisant, mais le montage de lotissements communaux constitue des dossiers complexes qui ne se bouclent pas en quelques semaines. Le logement des actifs Cavalairois est une priorité de ce mandat et la municipalité entend dans les meilleurs délais, lancer celui du Jas.

 

Sur la Poste

Nous avons déjà répondu sur ce point et nous vous invitons à relire, si besoin était notre dernière newsletter. (Cliquez ici pour voir le document).

 

Une occasion de se taire ne se rate jamais !

Ce précepte n’est pas parfaitement assimilé par le chef de file de la minorité municipale.

 

Il nous dit : « cher Cavalairois, voilà notre bilan ». Mais son soi-disant bilan n’est fait que de ses critiques sur les 7 points que nous venons de discuter. Son action depuis 2008, est donc celle du jugement critique à notre encontre. Ce jugement est d’ailleurs d’un type particulier car il n’est jamais de fond. Il n’est jamais étayé, jamais positif, jamais constructif.

 

Le chef de file de la minorité municipale se tient toujours dans des postures ambigües, mal à l’aise et agressif, entre énervements épidermiques et fausses déceptions, entre fausses rumeurs et confidences controuvées. 

 

Nous finirons par croire, à notre grand regret, que le chef de file de l’opposition municipale ne peut rien produire. Il se contente de médire. C’est en fait « tout son programme ».

 

Nous savons donc maintenant que c’est pour lui, son seul moyen de « Mieux Vivre à Cavalaire ».

 

Pour les autres, pour tous ceux qui veulent vraiment « Mieux Vivre à Cavalaire », on peut leur proposer une autre solution, celle qui a déjà apporté ses preuves, celle du concret : rejoindre « Les Amis du Maire, Annick NAPOLEON ».

 

 

« Les Amis du Maire, Annick NAPOLEON »

 

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